Mieux se connaître pour rebondir grâce à l’approche « P.R.I.S.M.E. »

« Mieux se connaître pour rebondir ».

Un webinaire de deux heures très éveillant !

En ces temps si complexes à vivre, venez découvrir ce que la méthode ‘P.R.I.S.M.E.’ peut vous apporter comme nouvel éclairage de votre réalité. Une occasion d’échanges croisés et enrichissants avec un nombre très limité de participants (maximum 8 personnes). Un temps d’interactions pour développer plus avant la conscience de soi, la (re-)connexion à ce qui nous porte en avant dans l’accomplissement de notre potentiel ou contribue à nous permettre à nouveau de passer en mode-projet. En somme… rebondir effectivement !

Le webinaire se donne via la plateforme ‘ZOOM’ à télécharger gratuitement. Contactez Stéphane Loraux soit par téléphone (+32 475 510 333) soit par email (stephlor64@gmail.com) pour connaître les prochaines dates planifiées.

Transformation digitale et état d’esprit des individus… Un défi d’équilibriste?

Une époque sans précédent ? Elles l’ont toutes été !

Il est vrai que le rythme et l’amplitude de l’accélération des connaissances humaines et de ses implémentations dans notre vie quotidienne n’avaient pas encore été si magistraux.

Or notre cerveau humain, vieux d’environ trois millions d’années n’avait jamais encore eu à gérer une masse de stimuli aussi impressionnante en l’espace d’une simple journée.

Une journée de 12 heures et non de 24 comme il est si courant de l’entendre dire !

Certes, les capacités cérébrales de l’humain sont presqu’infinies, en tous les cas non finies dans l’état actuel où nous les “exploitons”.

Néanmoins j’entends le terme “capacités” bien plus sous un angle qualitatif que quantitatif, et c’est là que peut se poser le hic.

La masse d’informations, la fréquence soutenue, l’immédiateté dans l’échange et l’impermanence des certitudes sont potentiellement la cause cumulée de difficultés voire de souffrances pour l’humain d’aujourd’hui à pouvoir tout simplement suivre et tenir le coup !

Comment faire pour que progrès rime avec sérénité ?

La voie de la solution passe par l’accès à la plus haute intelligence dont nous sommes outillés et qui se nomme la « pré frontalité ».

Avant d’en dire plus à son sujet, il est utile d’expliquer la démarche et l’intention.

Pour avoir accès à quelque chose, il faut d’abord en avoir conscience.

Pour pouvoir recruter un talent, il faut en connaître l’existence.

Or, le concept de la « pré frontalité » en tant que tel n’est pas enseigné à l’école, ni celle des devoirs ni celle du management, ni celle d’ailleurs qui forment les enseignants !

Les choses avancent et l’on en parle de plus en plus souvent et de plus en plus largement.

Que ce soit grâce à la mise en valeur de l’intelligence émotionnelle lors du recrutement de dirigeants, la mise en pratique de techniques d’intelligence collective dans la gestion des collectifs, la mise en exergue des richesses découlant de la multi culturalité des citoyens, les occasions de s’ouvrir mieux aux autres et à soi-même se multiplient.

Les fruits sont là pour que nous les cueillions.

Tout participe à favoriser une meilleure utilisation de notre propre intelligence.

Quel lien pragmatique faire entre la digitalisation et le fonctionnement de notre cerveau d’humain ?

Il est aisé de le faire !

Le cerveau humain fonctionne comme une surpuissante centrale électrique. Nos milliards de connections neuronales s’établissent à une vitesse fulgurante.

Différents territoires cérébraux ont pour mission de gérer différents enjeux.

Une plus grande connaissance du fonctionnement de notre cortex, et surtout de notre cortex préfrontal peut contribuer à nous conduire vers davantage de sérénité.

Mais comment cela fonctionne-t-il au juste ?

Faire usage de sa capacité à pré frontaliser c’est en quelque sorte un processus qui consiste à passer d’une habitude à une attitude…

La préfrontalité c’est le calme dans la tempête, c’est la petite voix intuitive et inspirante, c’est la respiration conscientisée, la relativisation des enjeux, la curiosité de sortir des sentiers battus, la dédramatisation du vécu, l’autodérision de nos fichus caractères, la gestion bienveillant de nos émotions révélées.

Les avancées neuroscientifiques nous en font découvrir chaque jour davantage sur le fonctionnement de notre cerveau.

Les apprentissages qui en découlent pénètrent la sphère  de l’entreprise, de la formation et de la famille… mais encore au compte-gouttes.

Il y a encore du chemin, un sacré chemin.

La digitalisation du savoir permet indubitablement de le diffuser universellement en redessinant l’accès à ce même savoir par les différentes générations.

Plusieurs paradigmes s’en trouvent chamboulés, et là aussi utiliser sa pré frontalité élargit le champ de la réflexion et de l’acceptation de ce qui est différent et pourtant présent dans notre quotidien.

En conclusion disons : Digital… ‘oui’, préfrontal trois fois ‘oui’ !

Stéphane Loraux

Résilience et coaching…

Une épreuve difficile donne souvent l’occasion de faire le point sur l’essentiel. Résoudre en profondeur les problèmes qui font obstacle sur le chemin de nos désirs, de nos aspirations et projets.

Le coaching propose des pistes et des solutions étonnantes d’efficacité .

Avez-vous déjà tenté l’expérience d’un trajet de coaching pour pouvoir mieux rebondir ? Entendant par ‘rebondir’, la prise de conscience et la force du parcours pour s’éloigner d’une situation qui ne convient plus et tendre vers un renouveau meilleur pour soi.

Cette évidence d’un changement nécessaire parfois s’affaiblit ou s’amenuise du fait d’un manque d’énergie, d’une perte de puissance, du poids d’un doute ou d’un besoin d’aide que l’on ne parvient pas facilement à formuler. Il est bienveillant pour soi de penser qu’appeler à l’aide est une force et non une faiblesse.

Dans notre société d’hyper-performance et d’immédiateté, la vulnérabilité est rarement bienvenue, perçue positivement voire valorisée. La sérénité s’en trouve par-là compliquée à atteindre.

L’Être Humain à qui sans cesse est ostensiblement suggéré d’en Faire davantage, découvre tôt ou tard selon les personnes, les limites de résistance à ne pas franchir. Ces limites sont vraiment propres à chacun, mais nul n’en est exempt.

Il arrive aujourd’hui fréquemment que les exigences du système fonctionnel de notre société ne soient plus pleinement compatibles avec la biologie du corps humain. Les cas d’épuisement, de démotivation ou de perte de sens s’additionnent et ont des effets collatéraux très importants. Concomitamment et heureusement, nombre de personnes ont apporté à leur existence des changements profonds, ont réorienté leur chemin, ont éclairé leur voie. Ils ont en fait écouté, à un moment donné, les signaux d’atteinte de leurs propres limites.

Pour plusieurs d’entre elles, le coaching a été le choix judicieux pour les faire évoluer sur leur trajet de vie et leur permettre un nouvel envol.

C’est ici qu’intervient le concept de résilience. La résilience opère en quelque sorte comme un ressort. Un ressort qui donne la faculté de reprendre pleine possession de nos moyens, ressources et talents par-delà une épreuve, une circonstance, ou un contexte de vie. Les événements vécus au fil de notre histoire soumettent ce ressort à des étirements de plus en plus soutenus, fréquents et marquants. Un ressort distendu prend un certain temps à se remettre dans sa position originelle. C’est ce temps et cette aptitude à reprendre le contrôle que l’on nomme “la résilience”.

Au fil des pensées qui animent notre esprit, nous oscillons entre apaisements et tensions par rapport à une situation donnée. La richesse de l’expérience vécue au travers d’un parcours de coaching, contribue concrètement à conscientiser de façon très perceptible ces flux et ces flots de pensées. Le coaching aide à se révéler à soi-même, à accueillir simplement ce qui traverse l’esprit sans cesse.

La maîtrise douce de nos pensées conduit progressivement à développer cette capacité de résilience. Notre ressort se relaxe et reprend alors forme dans un mouvement sans saccades. Le cheminement réflexif par la voie du coaching renforce la personne, paradoxalement en adoucissant le point de vue sévère qu’elle a parfois d’elle-même. Il en ressort, c’est le cas de le dire, un bel essor !

Selon la formule consacrée “l’essayer c’est l’adopter”…

Et si vous rencontriez un coach pour en parler ?

Stéphane Loraux